Vernissage – Rien ne nous appartient : Offrir
Fondation d’Entreprise Ricard, Paris, lundi 27 mars à partir de 18 heures
Curatrice indépendante, Flora Katz est à l’origine de la résidence artistique « Rien ne nous appartient : Offrir ». Une dizaine d’artistes, penseurs et philosophes (parmi eux Pierre Huygue ou Tristan Garcia) ont réfléchi à cette proposition et réalisé des œuvres individuelles qui éclairent les problématiques sociales et politiques de notre siècle. L’événement est gratuit et ouvert à tous.
Exposition – Ceija Stojka
Friche La Belle de Mai, Marseille, jusqu’au 16 avril
Rescapée des camps, Ceija Stojka est une artiste d’origine tsigane. Son œuvre introspective, qualifiée de brute, candide ou populaire, est pour la première fois présentée en France. L’exposition que lui consacre la Friche La Belle de Mai à Marseille réunit soixante-quinze œuvres mêlant peinture, archives et carnets personnels. Thématique et chronologique, le parcours tisse des liens entre la vie et l’œuvre de l’artiste, disparue en 1993.
Concert – Claude Violante
Release party Claude Violante aux bains Douches, Paris, jeudi 30 mars à partir de 22 heures
Pour fêter le lancement de son dernier EP Road Race, Camille Petitjean (parisienne cachée derrière le pseudonyme Claude Violante) s’empare des Bains Douches le 30 mars. Une release party qui convaincra tout le monde, les nostalgiques du r’n’b et les amoureux de la pop.
Journée des femmes peu ordinaires
Musée National des arts asiatiques, Paris, samedi 1er avril, de 14 heures à 18 heures
Dans le cadre de l’exposition « Alexandra David-Néel, une aventurière au musée », le musée Guimet consacre une journée aux femmes photographes, aux voyageuses et écrivaines qui n’ont cessé de parcourir le monde durant leur vie. Une conférence autour des voyageuses du 20ème siècle, des lectures ainsi qu’une projection du film d’Ella Maillart Seule au Népal, réalisé en 1951, rythmeront cette journée placée sous le signe des femmes.
Cinéma – Rebelles à Los Angeles
Centre Pompidou, Paris, dimanche 2 avril en cinéma 2, à partir de 15 heures
À la fin des années 1960 aux Etats-Unis, des étudiants africains et afro-américains s’engagent à représenter les populations noires dans le cinéma américain. Le festival « Cinéma du réel » impulsé par le Centre Pompidou consacre une journée à Charles Burnett, figure de proue de ce mouvement cinématographique largement mésestimé et surnommé L.A Rebellion. À ce titre, les films des réalisatrices noires Alile Sharon Larkin, Julie Dash ou Jacqueline Frazier seront présentés. Une rencontre entre Charles Burnett et Halié Gerima sera également organisée ce jour.