Exposition – De Zurbaràn à Rothko
Musée Jacquemart-André, Paris, à partir du 14 mars
Le Musée Jacquemart-André met à l’honneur Alicia Koplowitz, femme d’affaires et grande collectionneuse espagnole. À travers sa collection personnelle, le spectateur retrouvera quelques œuvres des plus illustres peintres de la figuration (Goya, Henri de Toulouse-Lautrec ou encore Paul Gauguin) ou des maîtres de l’abstraction à l’instar de Mark Rothko. À découvrir dès demain, mardi 14 mars.
Cinéma – Grave de Julia Ducournau
Dans tous les cinémas de France, à partir du 15 mars
La jeune réalisatrice diplômée de la Femis continue de creuser avec ce premier long-métrage les obsessions qui parcouraient ses deux premiers courts : l’adolescence, les transformations du corps, la féminité et la transgression des interdits. Autour du personnage de Justine, apprentie vétérinaire et végétarienne, Julia Ducournau dresse le portrait d’une génération en proie à tous les excès – et toutes les métamorphoses.
Exposition – My Body My Choice
Le Coeur, Paris, jusqu'au 25 mars
Après 4ème Sexe, indéfinition des genres, réaffirmation des plaisirs, Le Cœur dédie son espace à quatre femmes photographes (Alice Moitié, Sonia Sieff, Estelle Hanania et Maroussia Rebecqq) qui redéfinissent la notion de nu féminin. Une exposition collective co-curatée par Lauren Bastide, fondatrice du podcast La Poudre.
Festival – Les Femmes S’en Mêlent
Le Trianon, Le Trabendo, les Divans du Monde, Paris, à partir du 27 mars
Chaque année le festival Les Femmes s’en Mêlent prend d’assaut quelques scènes de renom (Le Trianon, le Trabendo) et fête la jeune garde musicale féminine. L’occasion de retrouver les Cannery Terror, Little Simz ou encore Austra et Barbi(e)turix du 27 au 31 mars. Réservez vos places ici.
Rétrospective – Dorothy Arzner
Cinémathèque française, Paris, à partir du 22 mars
Hollywood, années 1930 : des icônes féminines de cette époque, on retient souvent Greta Garbo, Marlene Dietrich comme autant de muses qui ont fait la splendeur du cinéma américain. Mais cette époque sied aussi à Dorothy Arzner, réalisatrice dont l’œuvre méconnue fait l’objet d’une rétrospective à la Cinémathèque Française. Ses films, à l’instar d’Anybody’s Woman, témoignent de son engagement à célébrer les femmes et questionner leur place dans la société.